La pandémie a vu un nombre conséquent de cyberattaques se produire dans plusieurs pays du monde.
Ce phénomène qui redessine totalement les rapports de force entre les États, illustre un véritable risque pour la protection des données des personnes. En effet, les cyberattaques peuvent cibler aussi bien des administrations publiques que des entreprises privées.
Au cours de l’année 2021, plusieurs secteurs d’activités en ont été victimes au sein des grandes puissances dont la France, qui se protège du mieux qu’elle peut mais se sait menacée.
Une cyberattaque cible des systèmes d’information (SI) ou les entreprises dépendant de la technologie et de réseaux afin de voler, modifier ou détruire un système sensible.
Le gouvernement a classé en quatre catégories les cyberattaques :
Ainsi, ces attaques peuvent entraîner de graves conséquences pour l’entreprise telles que :
La crise sanitaire a poussé de nombreux salariés à travailler de chez eux, ce qui les a exposés aux cyberattaques.
En effet, les appareils auparavant protégés soit par le réseau de leur entreprise soit par leur administration, se retrouvaient vulnérables du fait du télétravail.
En 2021, les géants du numériques comme les PME n’ont pas été épargnés.
À titre d’exemple, un pirate informatique a mis en vente les données de plus 500 millions d’utilisateurs de LinkedIn en avril 2021. Quelques jours plus tôt, c’était les données personnelles de plus de 530 millions d’utilisateurs de Facebook qui étaient divulguées.
Cet article a été rédigé en partenariat avec AD&JURIS INNOV.
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